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Bulletin des renseignements généraux : sabotage à Tuilières
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Note du service des renseignements généraux : sabotage à Tuilières (PDF, 2 pages)
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Procès-verbal de la gendarmerie de Lalinde - Tuilières (PDF, 8 pages)
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Procès-verbal de la gendarmerie du Buisson - Tuilières (PDF, 5 pages)
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Rapport de l'ingénieur des Ponts et chaussées : dégâts à Tuilières et Mauzac (PDF, 2 pages)
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Rapport du capitaine de gendarmerie de Bergerac - Tuilières et Mauzac (PDF, 3 pages)
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Sabotage à Tuilières : la presse silencieuse
Sabotage de la production électrique

Sabotage des usines de production électrique de Mauzac et Tuilières, dans la nuit du 12 février 1944.
Le 12 février 1944, une opération simultanée de la Résistance, menée par les Francs-tireurs et partisans français (FTPF), visait les centrales de production hydroélectrique de Mauzac (Mauzac-et-Grand-Castang) et Tuilières (Saint-Capraise-de-Lalinde), sur la vallée de la Dordogne. Les groupes FTPF Gardette et Sampaix sabotaient l'usine de Mauzac, alors que le groupe FTPF Ricco se chargeait du sabotage du site de Tuilières.
Ces deux centrales figuraient parmi les sites sensibles inscrits dans un plan de maintien de l'ordre départemental. En effet, elles alimentaient en électricité les départements de la Dordogne, de la Gironde (dont la base sous-marine de Bordeaux ainsi que l'industrie au service de l'Allemagne), du Lot-et-Garonne et une partie de la Charente. Après cette opération de sabotage, la société Énergie Électrique du Sud-ouest qui exploitait ces deux sites, se trouve démunie de 40 % de sa capacité de production.
Pour en savoir plus :
Sabotage à Tuilière
Responsable militaire FTPF en Dordogne (1) - Gaston Terrioux
Responsable militaire FTPF en Dordogne (2) - Gaston Terrioux
- Bibliographie : Le Bail Sylvain, Les forces de l'ordre sous Vichy. Le G.M.R. (Groupe Mobile de Réserve) du Périgord, Saint-Georges-de-Montclard, Le Chêne vert, 2003.